Rosier Floribunda (Jaune)
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Rosier Flaribunda (Jaune)
Groupe de rosiers modernes issus des rosiers de thé, et des rosiers polyanthas, très hybridés durant le XX° siècle. Ce sont des rosiers reconnaissables à leurs fleurs regroupées en bouquets, à pétales simples ou doubles. Ce sont des arbustes denses, les fleurs sont plus petites que sur les hybrides de thé, mais plus nombreuses, ce qui les rend populaires pour les massifs et les parterres.
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Nom commun : Rosier floribunda
Nom latin : Rosa floribunda
Famille : Rosacées
Catégorie : Arbuste
Type de plante: Vivace
Diametre du pot: +-19cm
Caractéristiques
Exposition: Soleil
Granulométrie plants.granulometry_4
Résistance au gel Très bonne
Hauteur à maturité 30 – 100cm
pH 6 – 7
Identifier mon rosier
Les rosiers sont des plantes ligneuses à port rampant, buissonnant, arbustifs, sarmenteux ou grimpant. Tiges souvent épineuses, rampantes, sarmenteuses ou érigées, feuilles alternes, de 3 à 20 cm de long, portant de 5 à 7 folioles souvent dentées. Floraison parfumée, de l’été à l’automne, de forme, de couleur et de dimension très variables. Les fruits, appelés cynorhodons, sont rouges ou orangés, ovales ou arrondis. Si votre rosier fleurit une seule fois en juillet, il est dit « non-remontant ». S’il refleurit après le mois de juin, il est appelé rosier « remontant ».
IDENTIFIEZ MA PLANTE !
Planter mon rosier
En terre:
La plantation se fait idéalement de septembre à mars, hors gel, surtout en racine nue. Dans ce cas, un bon bassinage (mettre de la boue sur les racines) fera une grande différence. Plantez en sol pas trop calcaire, fertile, humifère, frais et bien drainé, en plein soleil – d’accord, « frais ET bien drainé » c’est un peu un mouton à cinq pattes.
Taillez les racines abîmées, et raccourcissez les branches à 25 cm du pied.
Creusez un trou 2 ou 3 fois grand comme le volume de la motte, sans mélanger les couches du sol.
Plantez sans enterrer le collet – la petite ligne qui sépare branches et racine. Tassez bien autour des racines et arrosez copieusement à la plantation. Formez une petite cuvette de plantation pour arroser durant la première année.
En pot:
Plantez dans un pot de 5 à 30 litres. Placez une couche de graviers au fond, que vous recouvrirez d’un mélange de terre et de compost ou de terreau enrichi jusqu’au tiers. Placez la motte de votre rosier à sa hauteur définitive, puis finissez de remplir le pot.
Plantez sans enterrer le collet – la petite ligne qui sépare branches et racine. Tassez bien autour des racines et arrosez copieusement à la plantation. Paillez pour éviter l’évaporation et la concurrence que les rosiers détestent. Pour cela, un paillage à base d’écorces ou des feuilles sèches est conseillé.
Fertiliser mon rosier
Fertilisez de manière préventive, en novembre. Soyez raisonnable, les rosiers ont juste besoin d’un peu d’engrais organique (fumier, compost…), 100g/m² suffisent. Si vous en mettez davantage, vous allez devoir lutter contre d’autres plantes qui tenteront de rééquilibrer un sol trop enrichi.
Essayez aussi les recettes de grand-mères (peau de banane pour le potassium qui favorise la floraison, marc de café contre les pucerons)… mais on ne vous garantit rien !
Évitez le bois frais en paillage pendant la période d’activité, va provoquer une « faim d’azote » temporaire dans le sol.
Tailler mon rosier
Donaliflor vous donne ici le b-a-ba de la taille, avec les cas principaux :
– On différencie les rosiers remontants, qui refleurissent plusieurs fois après le mois de juin, des non-remontants qui ne fleurissent qu’une fois. Vous taillerez les remontants en février-mars, et les non-remontants de juillet à septembre, après la floraison.
– Pour éviter les chicots noirs en dessous des coupe, coupez toujours juste au dessus d’un bourgeon (un « œil », en langage jardinier), sans laisser plusieurs cm de bois destiné à pourrir. Travaillez avec un sécateur ou un coupe-branche, en ayant toujours la contre-lame en haut, de manière à n’écraser que le rameau qui tombe. Désinfectez régulièrement la lame pour éviter le transfert de maladies.
– La taille d’entretien des rosiers arbustifs, sarmenteux et buissonnants consiste dans un premier temps à enlever les gourmands (tiges très vigoureuses qui partent sous le point de greffe), le bois mort et abîmé, et les tiges trop faibles. Ensuite, essayez de dégager le cœur de votre rosier, pour que la lumière pénètre bien partout. Un rosier doit avoir entre 3 et 7 tiges qui partent de la base, donc sélectionnez les plus vigoureuses et n’hésitez pas de temps en temps à couper une vieille branche. Cette sélection étant opérée, raccourcissez les branches latérales à 3 ou 5 yeux (comptez les bourgeons à partir du pied). Pour les grands rosiers très vigoureux, vous pouvez tailler à 7 yeux.
– Taillez les rosiers grimpants remontants en février mars également, de manière à avoir de 5 à 7 charpentières, à partir desquelles vous compterez 5 à 6 yeux pour raccourcir les branches latérales.
– Taillez les rosiers grimpants non-remontants après la fin de leur floraison, en gardant également 5 à 7 branches charpentières principales, mais en taillant les rameaux latéraux à deux yeux.
– Les rosiers de petite taille, au port buissonnant ou rampant, n’ont pas besoin d’être taillés aussi strictement. Raccourcissez les branches latérales qui vous gênent, et éclaircissez le cœur de temps en temps, en coupant bois mort et gourmands.
Arroser mon rosier
Pour l’arrosage des rosiers, mieux vaut procédez à des arrosages importants et peu fréquents (deux arrosoirs de temps en temps), pour inciter le système racinaire à aller chercher l’eau en profondeur.
Arrosez « à satiété », c’est à dire jusqu’à ce que la cuvette de plantation soit remplie, et ne se vide que très lentement.
Pailler mon rosier
Les rosiers détestent la concurrence, alors :
– soit vous aimez griffer la surface, et vous grifferez toutes les deux semaines
– soit vous paillez deux fois par an de manière à avoir 3-4 cm de paille ou de bois sur le sol. Paillez avec ce que vous avez, en quantité raisonnable : un peu (très très peu) de tonte de pelouse, des feuilles sèches, voire même du compost pas encore décomposé avant l’hiver. L’important est de couvrir.
Surveiller mon rosier
Surveillez surtout les dégâts au niveau de l’écorce et du bois. Les attaques très nombreuses que peuvent subir vos rosiers au niveau des feuilles (tâches noirs, insectes, pucerons), sont moins dangereuses pour sa santé.
Les rosiers sont victimes d’attaques régulières de la part de maladies cryptogamiques – des champignons le plus souvent. On les traite souvent à la bouillie bordelaise – qui est du cuivre. C’est « bénéfique » à court terme, mais ça empoisonne aussi les micro-organismes utiles du sol, donc à long terme c’est dommageable.
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